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L'UNESCO, en tant qu'agence chef de file des Nations Unies travaillant en étroite collaboration avec le Département des affaires économiques et sociales des Nations unies (UNDESA), facilite l'organisation de la Décennie internationale des langues autochtones 2022-2032 (IDIL 2022-2032). 

Un Groupe de travail mondial pour l'élaboration d'une Décennie d'action pour les langues autochtones a été mis en place pour servir de mécanisme de gouvernance internationale pour la Décennie. Le Groupe de travail mondial a établi quatre groupes ad hoc sur la base des recommandations du Comité directeur du Groupe de travail mondial. Conformément au , les groupes ad hoc sont chargés de fournir un espace de consultation auprès d'experts afin de traiter divers sujets et de fournir des conseils sur des aspects spécifiques de la mise en œuvre du . Le Comité directeur a décidé de créer quatre groupes ad hoc, chacun chargé d'un sujet ou d'une question thématique spécifique : 

Groupe ad hoc 1. É��ܳ����پ��Dz� et domaines pour les langues autochtones, qui se concentrera sur les systèmes éducatifs, les politiques et la garantie d'une éducation inclusive et équitable. 

• Groupe ad hoc 2. Transmission des langues autochtones et renforcement de la résilience, qui se concentrera sur l'autonomisation de toutes les générations dans la transmission des connaissances par le biais de la langue. 

• Groupe ad hoc 3. Reconnaissance, statut et mise en œuvre de politiques pour les langues autochtones, qui dressera la carte de la reconnaissance et du statut des langues autochtones dans les politiques linguistiques et analysera la mise en œuvre de ces politiques. 

• Groupe ad hoc 4. Égalité numérique et domaines, qui visera à éliminer les obstacles auxquels les langues autochtones sont confrontées dans le domaine numérique.

L'UNESCO lance un appel à participation aux groupes ad hoc de la Décennie internationale d'action pour les langues autochtones. Selon le sujet examiné, les groupes ad hoc se composent de divers experts représentant leur gouvernement, des institutions et organisations de peuples autochtones, le milieu universitaire, la société civile et des organisations des secteurs public et privé, et d’autres parties prenantes (à la fois à titre personnel et en qualité de représentant d’une institution). Il convient de noter que les groupes ad hoc sont limités à 20 membres pour des raisons d'efficacité. Ainsi, la priorité doit être accordée aux candidats qui sont des experts reconnus au niveau international dans le domaine concerné, notamment parmi les autochtones, et qui doivent être retenus pour leurs compétences.

L'UNESCO invite les experts du monde entier à rejoindre les groupes ad hoc et à apporter leur expertise aux initiatives entreprises au cours de la Décennie internationale des langues autochtones. Votre participation promet de renforcer considérablement l'efficacité et l'impact de ces efforts. De plus amples informations sur la mise en œuvre des groupes ad hoc et leur objectif respectif sont fournies à l'.