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Intervenant dans cette session de sensibilisation participative, les experts ont également abordé la question de la Santé Sexuelle et Reproductive des jeunes et adolescents, les VBG et leurs conséquences ; à savoir les IST et les grossesses non intentionnelles ainsi que les structures de prise en charge médicale. 

Un accent particulier a été mis sur la nécessité de soutenir un plaidoyer pour une prise en compte effective des besoins spécifiques des enfants avec un focus sur les filles et les élèves en situation de handicap.

Les activités à l’Institut Bobokoli et au Groupe Scolaire Mont-Amba ont été aussi marquées par des prestations théâtrales pour mieux illustrer les interventions et des échanges, témoignages et partage d’expérience. 

Il sied de noter que l’UNESCO, s’appuyant sur son mandat éducatif, et ses états membres ont déclaré chaque premier jeudi de novembre la Journée internationale contre la violence et le harcèlement à l'école, y compris le cyberharcèlement. Le but est d’éveiller la conscience des acteurs du secteur de l’éducation engagés pour faire des écoles des lieus d’apprentissage sûrs, inclusifs, attrayants pour les filles et les garçons et exempts de toutes formes de violences sur leurs rôles en vue de l’atteinte des cibles des ODD 3,4, 5 et 16, respectivement, en lien avec la santé, l’éducation ; l’égalité des sexes et les institutions efficaces.