C’était une expérience extrêmement fructueuse et riche, à en juger par la multiplicité d’origines des participants et à la variété de leurs profils. Malgré ces différences apparentes, nous avons pu travailler en équipe et produire les prémices de Libreville 2050. Cet atelier m’a apporté plusieurs choses. Il nous a permis de nous remettre continuellement en question, d’être plus humble et de savoir écouter l’autre afin de parvenir à une vision collective.
C’était la première fois que ce genre d’évènement (Laboratoire du Nouveau Monde) se déroulait en Afrique centrale, c’est donc une fierté qu’il se soit tenu à Libreville. En terme de prolongement, je souhaite que nous soyons associés dans la mise en œuvre de la vision définie.
Libreville 2050 est pour moi, une ville très futuriste à la pointe de la technologie, une ville culturelle, une ville en mouvement, une ville où les citadins sont joyeux et dynamiques. De fait, le plus important, pour moi, serait de parfaire l’urbanisation et les infrastructures de la capitale et créer des conditions afin que tous les librevillois participent activement à l’embellissement de la ville.