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Atelier technique d’échange sur des pistes des évaluations de qualité, équitables et crédibles
A la veille des examens certificatifs au CM2, en 3ème et en Terminale, le Bureau de l’UNESCO de Brazzaville a organisé le 13 juillet 2020, à la demande du Ministère de l’enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, un atelier technique d’échange sur des pistes des évaluations de qualité, équitables et crédibles sous la Présidence du Ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Son Excellence M. Anatole Collinet Makosso et la Participation du Directeur Régional Multisectoriel de Yaoundé, M. Salah Khaled et de la Représentante ai du Bureau de l’UNESCO de Brazzaville, Mme Fatoumata Marega.
L’atelier a réuni à ses temps forts des participants, cadres du Ministère, Partenaires techniques et financiers et du SNU, quatre (4) Associations des syndicats d’enseignants, le Président de l’association de Parent d’élèves et étudiants du Congo, M. Grégoire Epouma, le Secrétaire Général de la Commission Nationale congolaise pour l’UNESCO M. Gabriel Bokoumaka, ainsi que les experts du Siège de l’UNESCO, du Bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique Centrale et du Bureau de l‘UNESCO/de Brazzaville.
L’atelier technique, dont l’objectif nodal, rappelé par le Rigobert Banzouzi, Coordonnateur du Programme Education, est de s’accorder sur les normes minimales à respecter pour donner aux examens la validité requise s’est structuré en 3 temps forts : Une partie protocolaire avec trois allocutions de la Représentante de l’UNESCO, du Directeur Régional Multisectoriel de Yaoundé, du Ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, une partie technique avec trois (3) communications substantives et une partie consacrée aux échanges.
Lors de la cérémonie d’ouverture, la Représentante de l’UNESCO, dans ses remarques liminaires, a rappelé l’impact de la crise de la COVID sur le système éducatif : la fermeture des écoles, l’arrêt de cours, l’interruption des enseignements qui ont mis les pays et les décideurs devant un défi majeur celui de la tenue d’examens équitables, crédibles et valides.
Intervenant en second lieu, le Directeur Régional du Bureau Multisectoriel a salué le renforcement de l’excellente collaboration entre le Ministère et l’UNESCO. Il a noté que la crise de Covid 19 a permis de relever des défis et d’explorer des opportunités. Il a cité en exemple l’Egypte pour les apprentissages et les examens en ligne réussis. Enfin, il a souligné que les conclusions de cet atelier permettront d’éclairer les autres pays de la région.
Dans son discours d’ouverture, le Ministre a souligné que l’évaluation est un aspect important de la qualité, qui permet de savoir le degré d’atteinte de cet objectif tant au niveau de la classe que de l’ensemble du système éducatif, tant au niveau national qu’aux niveaux régional et international pour les statistiques et classements.
La partie technique de l’atelier était animée par les experts : M. Gwang Chol Chang, Directeur de la planification éducative du Siège qui a présenté le contexte global, le Professeur Pascal Ndinga de l’Université de Québec et le Docteur Abdoulaye Barry.
Dans sa communication, Mr Chang a présenté les 6 recommandations formulées par l’UNESCO concernant les examens : approche globale du Gouvernement, dialogue social, options d’évaluation pour garantir l’équité, examens à enjeux élevés, examens en ligne, approches différenciées pour l’enseignement et la formation techniques et professionnels.
La communication de l’équipe d’experts internationaux (Professeur Pascal Ndinga de l’Université de Québec et le Docteur Abdoulaye Barry) s’est articulée autour de 2 axes :
•   Communication sur les facteurs qui interviennent dans la validité des examens
•   Présentation de l’analyse et des recommandations de l’UNESCO.
Ils ont présenté le contexte et le cadre d’évaluation des apprentissages dans les classes d’examen. Par la suite, ils ont décliné les scénarios possibles pour l’organisation des examens, proposé 4 scénarios et formulé trois recommandations :
(i)Réviser le mandat de la structure nationale d’évaluation des acquis des élèves en l’inscrivant sous le signe de la continuité et de la réalisation des ODD, en particulier de l’ODD4 ; (ii) concevoir un plan de renforcement des capacités de la structure pour en faire un chainon dans l’amélioration de la qualité de l’enseignement et de l’apprentissage ; (iii)mettre en place un cadre d’action pluriannuel aboutissant à faire de l’évaluation des acquis, un outil de pilotage du système éducatif.
Au terme des débats et échanges fructueux, le Ministre a relevé l’intérêt de poursuivre cet atelier et a procédé à la clôture des travaux. Pour la suite de l’atelier, deux étapes suivantes sont préconisées : l’identification des besoins sur la base d’une consultation avec le Ministère et l’adaptation du cadre d’évaluation en fonction des besoins.
L’atelier a réuni à ses temps forts des participants, cadres du Ministère, Partenaires techniques et financiers et du SNU, quatre (4) Associations des syndicats d’enseignants, le Président de l’association de Parent d’élèves et étudiants du Congo, M. Grégoire Epouma, le Secrétaire Général de la Commission Nationale congolaise pour l’UNESCO M. Gabriel Bokoumaka, ainsi que les experts du Siège de l’UNESCO, du Bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique Centrale et du Bureau de l‘UNESCO/de Brazzaville.
L’atelier technique, dont l’objectif nodal, rappelé par le Rigobert Banzouzi, Coordonnateur du Programme Education, est de s’accorder sur les normes minimales à respecter pour donner aux examens la validité requise s’est structuré en 3 temps forts : Une partie protocolaire avec trois allocutions de la Représentante de l’UNESCO, du Directeur Régional Multisectoriel de Yaoundé, du Ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, une partie technique avec trois (3) communications substantives et une partie consacrée aux échanges.
Lors de la cérémonie d’ouverture, la Représentante de l’UNESCO, dans ses remarques liminaires, a rappelé l’impact de la crise de la COVID sur le système éducatif : la fermeture des écoles, l’arrêt de cours, l’interruption des enseignements qui ont mis les pays et les décideurs devant un défi majeur celui de la tenue d’examens équitables, crédibles et valides.
Intervenant en second lieu, le Directeur Régional du Bureau Multisectoriel a salué le renforcement de l’excellente collaboration entre le Ministère et l’UNESCO. Il a noté que la crise de Covid 19 a permis de relever des défis et d’explorer des opportunités. Il a cité en exemple l’Egypte pour les apprentissages et les examens en ligne réussis. Enfin, il a souligné que les conclusions de cet atelier permettront d’éclairer les autres pays de la région.
Dans son discours d’ouverture, le Ministre a souligné que l’évaluation est un aspect important de la qualité, qui permet de savoir le degré d’atteinte de cet objectif tant au niveau de la classe que de l’ensemble du système éducatif, tant au niveau national qu’aux niveaux régional et international pour les statistiques et classements.
La partie technique de l’atelier était animée par les experts : M. Gwang Chol Chang, Directeur de la planification éducative du Siège qui a présenté le contexte global, le Professeur Pascal Ndinga de l’Université de Québec et le Docteur Abdoulaye Barry.
Dans sa communication, Mr Chang a présenté les 6 recommandations formulées par l’UNESCO concernant les examens : approche globale du Gouvernement, dialogue social, options d’évaluation pour garantir l’équité, examens à enjeux élevés, examens en ligne, approches différenciées pour l’enseignement et la formation techniques et professionnels.
La communication de l’équipe d’experts internationaux (Professeur Pascal Ndinga de l’Université de Québec et le Docteur Abdoulaye Barry) s’est articulée autour de 2 axes :
•   Communication sur les facteurs qui interviennent dans la validité des examens
•   Présentation de l’analyse et des recommandations de l’UNESCO.
Ils ont présenté le contexte et le cadre d’évaluation des apprentissages dans les classes d’examen. Par la suite, ils ont décliné les scénarios possibles pour l’organisation des examens, proposé 4 scénarios et formulé trois recommandations :
(i)Réviser le mandat de la structure nationale d’évaluation des acquis des élèves en l’inscrivant sous le signe de la continuité et de la réalisation des ODD, en particulier de l’ODD4 ; (ii) concevoir un plan de renforcement des capacités de la structure pour en faire un chainon dans l’amélioration de la qualité de l’enseignement et de l’apprentissage ; (iii)mettre en place un cadre d’action pluriannuel aboutissant à faire de l’évaluation des acquis, un outil de pilotage du système éducatif.
Au terme des débats et échanges fructueux, le Ministre a relevé l’intérêt de poursuivre cet atelier et a procédé à la clôture des travaux. Pour la suite de l’atelier, deux étapes suivantes sont préconisées : l’identification des besoins sur la base d’une consultation avec le Ministère et l’adaptation du cadre d’évaluation en fonction des besoins.
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15 juillet 2020
Dernière mise à jour20 avril 2023